Comme le soulignent les deux études de cas précédentes, il est important de garder en tête que, pour que l’ADPC réalise son plein potentiel, l’enseignant.e doit être en mesure d’identifier le champ de développement et être activement impliqué.e dans la planification des activités et engagé.e dans le déroulement des apprentissages.

En d’autres termes, les enseignant.e.s ne subissent pas un processus de développement, mais sont au contraire pleinement impliqué.e.s et actifs/actives dans leur auto-développement. Cela ne signifie pas qu’en tant que chef.fe d’établissement, vous n’avez pas la possibilité de souligner ou de suggérer des pistes de développement professionnel, mais simplement que cela doit se faire dans un esprit de coopération, de collaboration et de co-développement. Votre position de direction fait de vous un facilitateur/une facilitatrice des apprentissages, qu’il s’agisse de ceux des enseignant.e.s ou des élèves.

Modifié le: mercredi 27 mai 2020, 18:03